Étique dans la Recherche
Tom Coelho*
“Primum non Nocere.”
(En premier lieu, ne pas préjudiquer.”, Hipocrates)
Le cas est venu au publique à la fin de l’année 2005 causant du vacarme et de l’indignation. Une recherche dévéloppée dans trois communautés Ribeiriennes de l’Amapá: São Raimundo do Pirativa, São João et Santo Antonio de Matapi, dénommée, “Hétérogèneité Vetoriale et Malaria au Brésil”, avec l’intention d’étudier la dynamique de la transmission de la malaria et dévélopper des stratégies pour prévention. On utilise des cobayes humaines qui gèrent une épidémie localisé de la maladie.
Coordénée par l’Université de Floride et financée par l’Institut National de Santé des États-Unis (NHI), avec le partenariat de la Fondation Oswaldo Cruz (Fiocruz), de l’Université de São Paulo (USP), de la Fondation National de Santé (FUNASA) et du Secrétariat de la Vigilance de la Santé de l’Amapá, la recherche en cours depuis 2002, a eu comme escopette la capture du moucheron transmisseur, durant neuf nuits consécutives dans des journées de six heures, deux fois par an. Par ce travail, les membres de la communauté ont reçu “une aide de coût” journalière de 12 réais en faisant un total de R$ 108,00 – une valeure significative pour les familles pour plus de dix personnes avec une revenue mensuelle de R$ 300,00.
La question est que le travail ne se résumait pas à l’activité de la capture. Chacun des “volontaires” devait se soumettre à l’action des moucherons dans leurs bras et dans leurs pieds. L’objectif était de 100 picotements par nuit, en quatre sections de vingt-cinq piqures. Celles n’ont comprises dans sa cota ne recevait pas la journée.
Le projet a été approuvé par le Comité de l’Étique en Recherche de la Faculté de la Santé Publique de la USP, par le Comité de l’Étique du Centre des Recherches Aggeu Magalhães, unité de la Fiocruz au Pernambuco, par le Comité de l’étique de l’Université de la Floride et par le Conseil National de l’Étique dans la recherche (CONEP), organisme subordonné au Ministère de la Santé. Détail: la traduction du projet de la recherche en anglais au portugais, présentée par l’entité de l’Amérique du Nord aux compagnons du Brésil, a omis l’utilisation des “amorces humaines”, bien comme sa rémunération. Le Conseil National de la Santé (CNS) a suspendue la recherche en Décembre 2005.
Les Comités de l’Étique dans la Recherche (CEP), sont des organismes institutionalisés interdisciplinaires et indépendants, constitués par des professionnels des deux sexes dans le departement de la santé, les sciences exactes et humaines, apart de tout au moins un membre de la société représentant les consommateurs, tous sans rémunération. Ils présentent un caractère consultatif, délibératif et éducatif, comme la fonction d’évaluer les projets de la recherche qui s’appliquent à la participation des êtres humains. Crés comme base dans la Résolution 196/96 du CNS et crédenciés par la CONEP doivent défendre les intérêts des individus recherchés dans son intégrité et dignité et contribuer pour le dévéloppement de la recherche en dedans des normes étiques.
La partie d’étique d’une recherche implique quatre principes de bases:
a) L’autonomie: le consentement libre et éclairecis des individus objet et la protection aux groupes vulnérables et aux légalement incompétents;
b) Bienfaisance: pondération entre risques et bénéfices, si actuels comme potentiels, individuels où collectifs, se compremettant avec un maximum de bénéfices et un minimum de préjugés et risques. Le Principe de la Bienfaisance établit que nous devons faire du bien aux autres, indépendamment de le désirer où pas. Le Docteur José Roberto Goldim fait une distinction avec cohérence de trois concepts: bienfaisance est de faire le bien, la bienfaisance est de désirer le bien et la reconnaissance, méritoire du bien;
c) Le manque de bienfaisance: l’obligation de ne pas infliger un préjugé intencionel et garantir que les préjugés prévisibles soient évités;
d) Justice et équité: relevance sociale de la recherche avec les avantages significatifs par les sujets de la recherche et la minimisation dans le poids pour les sujets vulnérables, ne perdant pas le sens de sa destination socio-humanitaire.
Personnellement, j’ai le plaisir d’intégrer un des cinq cents comités de l’étique dans la recherche instituée dans notre pays. Nous nous réunissons tous les mois pour évaluer les projets présentés par des professionnels qui ont, plusieurs fois, dans l’art de guerir son métier. Nous avons formé une équipe hétéreogène et sans compromis avec des groupes où des entités. Nous évaluons, discutons et donnnant des orientations, nous approuvons où nous réprouvons un projet. Et nous agissons conscients que des millions de dollars dans la fameuse industrie pharmaceutique passent en nos mains, mais que au-dessus de tout cela, notre conscience et la croyance dans la virtuosité humaine.
L’Institut National de Santé aux États-Unis a mis 1 million de dollars au service d’un tel projet qui a atteint les les plus pauvres personnes qui résident dans l’extrême nord de notre pays. Je veux croire que les principes ont encore été viciés sur le capital, qu’une mort n’a pas été considérée seulement comme une mort où encore pire comme une mort nécessaire. Enfin que l’étique prédomine sur la politique qui, cartorialement est corrompue et ordonne: “Éxecutez-vous” en dépit de tout et de tout le monde.
28/04/2006
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
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