Échec et Succès
Tom Coelho*
“Si tu es homme, lève les yeux pour admirer ceux qui entreprennent des choses grandioses, bien qu’elles ont échouées.”
(Seneca)
“Le secret pour le succès est de faire les choses communes
exceptionnellement bien.”
(John D. Rockfeller)
Le discernement est nécessaire pour reconnaître l’échec, le courage de l’admettre et le divulguer ainsi que son apprentissage..
L’échec est présent dans notre vie dans ses aspects les plus variés. Dans la discussion fortuite des amoureux et à la séparation des couples, dû au manque de foi, et dans la guerre sainte, dans le déclassement et dans la place bien basse du podium, dans la détresse d’une affaire mal-faite et dans les conséquences d’une décision inadéquate.
Reconnaître l’échec est une question de proportion et perspective. J’aime beaucoup une recommandation du jeune Président de l’organisation, selon lequel nous devons distinguer ce qu’est un contretemps, un revers et une tragédie. La plupart des choses mauvaises de la vie sont les contretemps. Les revers sont plus sérieux, mais peuvent être corrigés. Tragédies, oui, sont différentes. Quand vous passez par une tragédie, vous comprendrez la différence.
L’histoire et la littérature sont unanimes en affirmant que chaque échec enseigne à l’homme quelque chose qu’il doit apprendre, que faire et se tromper, est une expérience, tandis que ne rien faire est un échec, que nous devons nous préoccuper avec les chances perdues quand même, nous ne tentons même pas, que l’échec fortuit fortifie les forts.
La recherche de la Revue “Harvard Business” pointe que l’entrepreneur casse en général 2,8 fois avant d’avoir le succès de l’imprésario. C’est pour cela qu’on a l’habitude de dire que l’échec est le premier pas dans le chemin du succès, où en citant Henry Ford, l’échec est l’opportunité de commencer de nouveau d’une manière intelligente. Ainsi, on s’aperçoit que cela doit être l’objectif de tout entrepreneur de se tromper moins, tomber moins de fois, mais doucement et non pas définitivement.
Ainsi comme l’amour et la haine sont voisins dans la meme arrière-cour, l’échec et le succès sont également separés par une ligne tendue. Mais le succès est vaniteux: il y a beaucoup de parents, motif pour lequel, ont l’habitude de parader publiquement. Naît en fonction de l’échec et rarement ne survit pas à ses dépens – du manqué du mérite d’autrui. D’un autre cote, on doit se rappeller que le succès fait l’échec de beaucoup d’hommes.
Déjà l’échec est orphelin et, tel comme l’exercice du pouvoir, solitaire. Disait La Fontaine:” Pour sauver son credit, cache ta ruine”. Et ainsi marche l’insuccès par des subterfuges. Peu de personnes perçoivent que la liberte d’échouer est vitale si vous voulez avoir du succès. Les entrepreneurs qui ont du succès échouent assez et une mesure de leur force est le fait que l’échec les impulsionne à une autre tentative de succès. Il est certain que chacun est responsable pour son propre naufrage. Mais quand le navire est à pic, il démeure au capitaine (imaginez ici la figure de l’entrepreneur) et non du Marin qui prend les rênnes de la situation. Et parfois, l’unique alternative possible est d’abandonner et tout de suite, la barque, déclinant la possibilité de sauver les appartenances pour sauver la tripulation. Dans ces cas, la faillite se purifie, tout comme um roi se repose avant que le dirigeant ne s’approche.
Le succès, puis, découle de sa perséverance (croire et lutter), de la persistance (ne pas confondre avec son entêtement), de l’obstination (seulement les paranoiques survivent). Découle de ne pas succomber à la tentation de plaire aux (grecs, troyens et aux …). Découle de l’exercice de patience, beaucoup plus que l’administration du temps.
Découle de faire ce que l’on aime, peut-être, il est preferable de faire ce qu’on l’aime (peut-être il est préférable d’échouer et faire ce qu’on aime et atteindre le succès en quelque chose que l’on hait). Découle de fabriquer ce que l’on vend et non pas vendre ce qui se fabrique, (on dit que quelque idiote est capable de peindre un cadre, mais seulement, un géni est capable de le vendre). Découle l’irréverance de se préparer pour l’échec, étant surpris par le succès. Découle de l’humanité d’accepter les petits détails comme les plus importants des grands plans. Découle du savoir-faire de maintenir la tête haute, l’épine droite et la bouche.
Je finalise en citant une phrase de Jean Cocteau: “Se maintenir fort devant l’échec et libre devant le succès”.
PS: Le texte utilize des phrases de Lucano, Saint Exupéry, Samuel Butler, Steven Spielberg et Walter Franco.
28/05/2002
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
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