S’il vous plait et merci!
Tom Coelho*
“Je préfère ceux qui disent non resolument,
à ceux qui disent oui titubant.”
(Ralph Waldo Emerson)
Imaginez-vous passioné. Sa première mission est de chercher une approximation avec la personne aimée. Faites-vous noter. Montrez-vous présent. Pour ceci, vous utilisez divers expédients. Faites des visites éventuelles. Téléphonez-lui et dirigez-lui des courriels – anterieurement, c’était des lettres et des télégrammes. Envoyez un petit souvenir, un cadeau pas prétentieux.
Perséverant tellement, un jour vous pouvez agender une rencontre personnelle. Un déjeuner où un diner. Le dialogue se poursuit très agréablement. L’évènement a du succès et même inoubliable. Pourtant, le jour suivant, celle qui avait l’air d’être la personne de votre vie n’apparaît plus. Évitez sa présence, ne répondez pas à ces téléphones, bloquez son courriel.
Alors, vous commencez à vous demander où vous avez commis une erreur. Faites une analyse de chacun de vos pas à la recherche d’un manquement, un lapsus quelconque qui justifie ce nouveau comportement de quelqu’un qui lui paraîssait si bien alignée sur ce qui se refère aux propositions et aux intérêts.
Il peut paraître curieux, mais analogiquement, il y’a des clients qui nous traîtent de cette façon.
Dans certains cas, vous rendez l’initiative de conquerir un nouveau client. Visitez-le regulièrement, lui envoyant des catalogues et des feuilletons de ses produits et services, lui présente les dernières nouvelles du marché. L’invite aux foires et aux expositions et lui fait des cadeaux avec des primes de la compagnie. Dans d’autre cas, le premier contact est réactif: le client vient jusqu’à vous.
Gentilment, il expose ses nécessités et expectatives. Lui sollicite un budget. Et depuis l’autre. Et puis un autre. Il demande à faire des ajustements. Il amplifie et réduit le projet. Négocie et échange. Et quand vous aviez un certain effet de vente, il sourit …,
Tel quel l’exemple du commencement du texte, inexplicablement ce client qui est parfois gentil et aimable, devient laconique et massade. Son accessibilité se transforme dans des heures interminables dans une salle d’attente. Vous commencez à sentir de la désolation, frustration et de l’angoisse. Comment agir dans ces moments.
1. Maintenez la tête droite. Bien que vous puissiez être le responsable pour ce changement de traîtement à cause d’une action non-pensée où pour des mots inadéquates dites, il est plus probable que le comportement en cours soit un comportement conscient de son interlocuteur.
2. Soutenez votre position. Ne permettez pas que les attitudes adverses de l’autre côté de la table le contaminent. Continuez à être prestatif, attentionné, cordial. Et soyez patient.
3. Présentez des alternatives. Pour justifier son insistence en un nouveau contact, présentez la proposition originale, offrant des options différentes du contenu. Mais ne touchez pas le prix où il pourrait perdre sa crédibilité. Celui-ci est le dernier facteur à entrer en phase de négociation.
4. Changez le canal de communication. Si le contact était personnel, essayez d’utiliser le téléphone. Si c’était par téléphone, envoyez-lui un courriel et vice-versa.
5. Déléguez à une tiers personne. Une des formes de rompre le blocage de communication est de mettre un collègue pour faire un “follow-up”, une suite. Si vous avez quelqu’un d’un poste supérieur, l’argument pourrait être une évaluation de qualité de son assistance. En réalité, un pretexte pour réactiver le contact.
6. Donnez un ultimatum. La pire des choses qui existe est que vous insistiez en quelque chose qui n’est pas fructueux. Il y’a plusieurs personnes à consulter, diverses propositions à être travaillées dans un même espace limité. Pour ceci, questionnez avec fermeté si l’affaire a une possibilité d’être fermée.
7. Acceptez les règles du jeu. Soyez préparé pour le pire, puis vous aurez pu être utilisé pour gérer plus d’une proposition où dévélopper techniquement le contenu de cette demande spécifique qui serait assistée par son concurrent. Le jeu corporatif est plusieurs fois ardent.
Cette situation atteint aussi des Professionnels des Ressources Humaines qui ne donnent pas de suite aux candidats aspirants à une classification d’emploi: des journalistes qui assistent à vos rôles et exécutent les délais de fermeture, cherchent des entrevues qui ne seront pas publiées où qui ne seront pas éditées de façon à préjudiquer où à compromettre l’interviewer, des acheteurs en général, de faire des cotations et non pas être dignes pour informer sa décision finale, bien qu’elle puisse négative.
Il manque le respect dans les relations personnelles et du travail. Respectez les hirarchies. Respect à vos collègues. Respect aux concurrents. Respect jusqu’à vous même.
S’il vous plait, réfléchissez sur ceci. Et merci.
04/08/2006
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
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