Transparence et Hypocrisie
Tom Coelho*
“Rien ne nous rend plus tolérant comme le bruit de la fête du voisin de que d’être lá.”
(Franklin P. Adams)
Les années marquent l’emergence d’un personnage intéréssant nommé yuppie. Il s’agit d’une expression réduite pour “young urban professional”, où soit, “jeune professionnel urbain”, représentant une classe de professionnels entre 20 et 35 ans, émergent et en ascension, dans le marché du travail, caractérisés pour être ambitieux, cherchant le succès à n’importe quel prix, apart d’être très consommateurs et peu sympathiques. Des exemples excellents sont Bud Fox, qui est protagoniste du film “Wall Street – Pouvoir et Cobaye”, véçu par Charles Sheen et son tuteur, le magnat Gordon Gekko (Michael Douglas, dans une de ses meilleures interprétations).
Le crash de la Bourse des Valeures de New York en 1987 a joué dans ce groupe dans une petite esfère et les années 90 nous ont apporté le culte et l’étique, la responsabilité sociale ainsi qu’une politique correcte.
Mais nous vivons dans un monde d’apparences et de manipulation. Enron et Parmalat ne sont pas des exceptions à la règle. C’est lamentable, mais le fait est que les entreprises compétentes, spécialement ceux de petit port, peuvent seulement se créditer au crédit banquaire “ajusté” ses données économiques informant la plus grande facturation de ce qu’est le real et présentant des démonstrations du résultat plus sain qu’il ne peut être. Peu importe si son plan d’affaires est exceptionnellement bien structuré, si l’activité est économiquement viable, si vous avez de l’expertise et know-how pour entrer dans le jeu corporatif. Le rôle accepte tout et c’est cela que les gérants et les analystes de crédit désirent voir.
J’ai participé d’une conférence ministrée par le directeur d’une grande banque. Et une de ces toniques a été la transparence dans les informations prêtées par le client. Balela. L’institution financière fait une pose de partenaire, mais en pratique met son masque. Refuse une opération de crédit formé par un titre légitime, parce que la valeure est élevée (ils appellent cela de “grande concentratione”), mais démontre du respect dans une duplicata sans cire tiré par l’entrepreneur contre l’entreprise d’un ami.
Je vois des universitaires qui participent des Centres Académiques et d’autres activités défendant des changements dans la structure curriculaire, dans le corps enseignant, dans le système d’évaluation, mais tant que les étudiants négligent leurs tâches les plus élémentaires et présentent un dévéloppement médiocre.
J’ai assisté aux évènements sociales qui se rencontrent et échangent des affections chaleureuses, en bavardant avec animation pendant des heures et qu’après s’être salués, font des critiques de tout espèce.
Les relations conjugales capitulent et les clients autrefois fiéls passent par la concurrence parce que les relations deviennent malsaines. Le discours et la pratique ne s’alignent pas. La transparence divulguée n’a pas d’autenticité. Les personnes ne disent pas la vérité oubliant qu’il n’y a pas des demi-mensonges. Et l’hypocrisie vicie.
Comme disait Gordon Gekko, “Je suis dans cette affaire depuis 1969 et je sais que ces bons hommes qui viennent de Harvard ne sont des riens. Je veux un gérant attentif, ambitieux et sans sentiments. Vous gagnez, vous perdez et continuer la lutte. Et, si vous avez besoin d’un ami, achetez un chien”.
Notre crise est des valeures. Les yuppies étaient peu agréables. Mais ils étaient moins spontanés.
06/06/2006
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
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